Vendeurs, votre avenir se joue maintenant!

7 février 2011

Je dis souvent que LA vie est un acte de vente, de séduction. Et l’une ne va pas sans l’autre. J’observe aussi que l’authenticité et la conviction nous mènent toujours plus loin. Manquer d’authenticité c’est jouer contre ses valeurs. C’est tromper l’autre. Tôt ou tard, les affaires en souffriront!

Pour attirer l’attention, nourrir sa famille, pour évoluer, on n’a pas le choix. Il faut convaincre donc, il faut vendre.
Peu importe la monnaie, on a toujours quelque chose à vendre. Ses services, ses produits, son attention, son écoute, sa sympathie…

Je suis de ceux qui considèrent que les médias sociaux révolutionnent les paysages politiques, culturels, sociaux ET économiques.

Pour le professionnel de la vente, il y a urgence. Il faut modifier RAPIDEMENT et fondamentalement son approche et sa perception des clients et des affaires. … Juste au cas où vous souhaiteriez continuer quelques années encore!

Avec l’aimable autorisation de son auteur Anne-Marie Cordeau, je vous présente ici un article révélateur du fond de ma pensée.

Professionnels de la vente: Adaptez-vous et prospérez. Stagnez et mourez!

Le vendeur est-il en voie d’extinction?

Je lisais ce matin un article d’un grand coach d’affaires; Jonathan Farrington, dont j’apprécie les propos, nous partage son opinion sur l’avenir des professionnels de la vente.

Dans son article publier aujourd’hui, il affirme que les vendeurs moyens n’a plus sa place et que celui-ci va bientôt disparaitre du processus de vente : entreprise à consommateur (B2C – Business to Consummer).

Comme l’explique Jonathan Farrington, le consommateur d’aujourd’hui est en mesure d’acheter sur le Web tout (ou presque tout) dont il a besoin.  Le consommateur a simplement besoin d’accéder au Web pour recherche le produit ou service requis.  Les manufacturiers, fournisseurs, liste de produits, liste de prix et promotions s’affichent dans les résultats de recherche, tout naturellement.  L’acheteur avisé s’intéresse aussi aux commentaires positifs et aux commentaires négatifs en particulier reliés au produit et à l’expérience de service client des précédents acheteurs.

Puisque l’acheteur a tout à porter de « Web » pour prendre les meilleures décisions d’achat, il n’a  plus besoin de faire affaire avec un vendeur. L’acheteur-consommateur souhaite encore moins se « faire vendre » un produit par un vendeur qui, le plus souvent, en connaît moins sur le produit que l’acheteur lui-même.

Alors, qu’arrivera-t-il de se vendeur en phase terminale?  De toute évidence, le vendeur mammouth devra s’adapter à la nouvelle réalité des affaires. Il devra changer de paradigme. Ne plus tout connaître à moitié, mais plutôt exceller dans un domaine en particulier.  Il devra « prendre une pilule d’humilité » et décider de se transformer. Le professionnel de la vente  ajoute de la valeur à ses clients, il partage ses connaissances du marché des affaires et bâtir et bâtit des relations de confiance avec les gens autour de lui.

Le vendeur du futur se définit comme un stratège de confiance, le vendeur d’exception s’affaire actuellement à définir les compétences de demain.

Je partage l’avis de Jonathan Farrington quand il dit : «adapt and thrive, or stagnate and perish »

Vous pouvez consulter le billet original dans son contexte sur le site Vente-8020.com

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Par Fabien Major

Rédacteur en chef

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