L’envie de sortir du marché boursier vous turlupine ?

20 avril 2011

FAIRE SES DEVOIRS: Le fait de conserver ses actions sur un horizon de plusieurs années ne veut pas nécessairement dire d’être inactif. Ou paresseux. Il faut poursuivre l’étude de « ses » entreprises, s’assurer que nos scénarios initiaux demeurent valides et rester à la fine pointe de l’actualité pour comprendre tous les enjeux qui influencent notre portefeuille boursier.

FAIRE DES PETITS: En conservant vos actions durant les périodes difficiles, les dividendes accumulés peuvent vous permettre de faire l’achat d’actions supplémentaires. Offrez-vous un objectif pour les prochains six mois: « en recevant 1000 $ de dividendes pour cette période, je pourrai acheter 25 actions supplémentaires de ce titre ».

ACTUELLEMENT, PAS D’ALTERNATIVE
: À défaut d’être investi sur les marchés boursiers, de quelle façon feriez-vous fructifier votre argent actuellement?

SOUTENIR VOTRE PORTFEUILLE: Cessez de multipler les transactions boursières, qui sont associées à des frais de commissions unitaires. Rien de pire que de contribuer à la diminution de la valeur d’un portefeuille mal en point en transigeant fréquemment. Évitez les frais de conversion de devises, en bénéficiant d’un compte de courtage en argent US, ou à l’inverse, profitez actuellement de la vigueur du dollar canadien pour mettre la main sur des blue chips américains.

LE CHOIX DE LA QUALITÉ: Un titre de qualité, acheté judicieusement, souffrira d’une panique boursière comme tous ses autres semblables. À la seule différence qu’il finira toujours par se relever.

DOMINIQUE LAMY

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